Ecrit en Octobre 2020 gonflage de texte 3

Gonflage de texte

Il s’agit l’augmenter par 4 ou 5 un texte en introduisant progressivement de nouvelles parties au texte, en respectant l’ordre des mots. Le premier et le dernier mots sont ceux du texte de départ. Une nouvelle ponctuation peut être introduite. Le sens de l’histoire peut être entièrement modifié

3 phrases au choix tirées de « la condition pavillonnaire » de Sophie Divry

– « Il y eut ce repas pour lequel tu t’étais donné tant de mal et avais refusé la charitable ingérence de ta mère »


« Il y eut un soudain un coup de tonnerre fracassant, puis aussitôt la pluie froide et drue…c’est vrai qu’il faisait lourd, mais on avait préféré manger dehors. Ma pauvre, ce repas pour lequel tu t’étais donné tant de mal, n’avait pas eu de chance ! Toute la tablée s’était levée d’un bond, on était tous trempés et le canard à l’orange nageait… remarque bien qu’avant ça, déjà, l’atmosphère était électrique, tu te souviens, depuis le moment où tu avais vertement refusé, au sujet de votre divergence sur les problèmes d’adolescence de Julien, la charitable ingérence de ta mère »

SD

Il y eut cette invitation pour ce fameux repas dominical pour lequel tu avais refusé toute ingérence de notre part. Tu t’étais donné beaucoup de mal mais reconnais qu’il était raté malgré la charitable complicité de ta mère.

HL

Ecrit en octobre 2020 gonflage de textes 2

Gonflage de texte

Il s’agit l’augmenter par 4 ou 5 un texte en introduisant progressivement de nouvelles parties au texte, en respectant l’ordre des mots. Le premier et le dernier mots sont ceux du texte de départ. Une nouvelle ponctuation peut être introduite. Le sens de l’histoire peut être entièrement modifié

3 phrases au choix tirées de « la condition pavillonnaire » de Sophie Divry

–  «  Dans les rues les plus calmes, les vieux avaient sorti les chaises et discutaient tranquilles. »


Dans les rues , le long des boulevards , sur les quais , une foule immense défilait . Les plus calmes marchaient en brandissant des pancartes ; les plus excités braillaient , sautaient , chantaient , sifflaient . Cette masse humaine réunissait les jeunes , les vieux , les plus doux , les plus violents . Tous avaient sorti un air de révolte qui marquait leurs traits car les chaises sur lesquelles on leur proposait d’attendre ne leur convenaient plus . Ils voulaient vivre debout et  avancer , ils voulaient exister . Ces révoltés discutaient , se chamaillaient , fiers de cette force et de cette détermination : pour les uns acharnées , pour les autres tranquilles .

HT

Dans cette chambre, je peux voir ce qui se passe dans les rues. Les piétons qui y passent ne sont pas les plus calmes. Et étonnamment, ce sont surtout les vieux ! Ils avaient l’air d’être chez eux et cela m’a agacé au plus haut point. Je suis sorti de ma chambre, j’ai saisi les chaises de la terrasse du bar le plus proches et je me suis dirigé vers ces vieux qui discutaient tranquilles sous ma fenêtre. Je les ai invités à s’asseoir le plus loin possible de mon immeuble. Enfin la paix !

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Ecrit en octobre 2020 Gonflage de texte 1

Gonflage de texte

Il s’agit l’augmenter par 4 ou 5 un texte en introduisant progressivement de nouvelles parties au texte, en respectant l’ordre des mots. Le premier et le dernier mots sont ceux du texte de départ. Une nouvelle ponctuation peut être introduite. Le sens de l’histoire peut être entièrement modifié

3 phrases au choix tirées de « la condition pavillonnaire » de Sophie Divry

–  «  François fut si bouleversé par cette rencontre qu’il se coucha en laissant la vaisselle déborder de l’évier, contrairement à ses habitudes de garçon propre. »


François fut si bouleversé par la visite de cette maison et par sa rencontre avec l’agent immobilier qu’il se prépara un whisky bien tassé, fuma un joint et se coucha en rêvant non de la maison mais de la belle brune qui l’avait accompagné. Le lendemain laissant sa voiture devant chez lui, il partit à pied au bureau et acheta de la vaisselle pour son nouveau chez lui. Il essaya de se raisonner et de ne pas se laisser déborder par son imagination. Le soir, le retour sur terre fut brutal à la vue de l’évier dont le robinet, coulant à flots se déversait en cascades dans tout l’appartement. Il referma se mit à patauger joyeusement dans l’eau, claqua la porte et décida d’ignorer l’incident, contrairement à ses habitudes de garçon propre.

DDou

François sortit en boîte comme toutes les semaines En buvant un verre il fut si bouleversé par la beauté de la jeune femme au bar qu’il réussit à vaincre sa timidité pour entamer une conversation . Cette rencontre, contrairement à ses habitudes le troublait encore lorsqu’il se coucha. Le lendemain matin , encore endormi, il ne s’émut pas lorsqu’il vit la vaisselle déborder de l’évier, prit un bol le lava se laissant aller à ses manies de garçon propre.

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Atelier d’écriture 16 Octobre 2020 exercices courants

ATELIER D’ECRITURE – ALT

Vendredi 16 Octobre2020 

Centre Culturel Terrasson 20 h. 15

Nouveau feuilleton : secret de famille

En séance on a pris connaissance des personnes présentes sur une photo de famille. On ne sait rien de l’une d’entre elles… Les autres si.

Chacun d’entre vous est un des personnages et donne ou pas sa version de l’histoire

en octobre : Hélène L. sera Tante Adèle

LES ABSENTS A LA SEANCE FERONT LEUR CHOIX POUR OCTOBRE

Jeu 1 Bouts rimés

En séance on a proposé des mots et on leur a trouvé une rime.

A chacun de construire son poème : Procrastination / inaction ; Balançoire / passoire;promenade /tambourinade ; maison/raison ; parade / charade ; edelweiss /gneiss; mal / animal

jeu 2 :Gonflage de texte

Il s’agit l’augmenter par 4 ou 5 un texte en introduisant progressivement de nouvelles parties au texte, en respectant l’ordre des mots. Le premier et le dernier mots sont ceux du texte de départ. Une nouvelle ponctuation peut être introduite. Le sens de l’histoire peut être entièrement modifié

3 phrases au choix tirées de « la condition pavillonnaire » de Sophie Divry

–  «  François fut si bouleversé par cette rencontre qu’il se coucha en laissant la vaisselle déborder de l’évier, contrairement à ses habitudes de garçon propre. »

–  «  Dans les rues les plus calmes, les vieux avaient sorti les chaises et discutaient tranquilles. »

– « Il y eut ce repas pour lequel tu t’étais donné tant de mal et avais refusé la charitable ingérence de ta mère »

exemple : Longtemps je me suis couché de bonne heure (Proust)

Longtemps je suis restée derrière la vitre. Je je me suis laissée envoûter par la tempête qui a tordu les arbres, cassé les branches, couché les blés, arraché les tuiles de la grange. Cela a duré une bonne heure.